Publié par Ce mercredi, Didier Deschamps a annoncé la sélection des 23 joueurs retenus pour les qualifications à la Coupe du monde 2026. Parmi eux, le Monégasque Maghnes Akliouche fait son entrée, un moment historique pour le jeune footballeur de 23 ans.
Un choix décisif pour Akliouche
Maghnes Akliouche, qui a longtemps été courtisé par l’Algérie, a finalement choisi de représenter la France. Cette décision a suscité des réactions variées, en particulier parmi les supporters algériens, qui espéraient le voir porter le maillot des Fennecs. Le jeune joueur participera aux matchs contre l’Ukraine et l’Islande qui se dérouleront en septembre 2023.
La Fédération algérienne de football (FAF) a exprimé sa déception face à ce choix. Des médias algériens, tels que La Gazette du Fennec, ont critiqué Didier Deschamps, soupçonnant une manœuvre pour bloquer Akliouche au sein de l’équipe de France. Ce cas rappelle les défis rencontrés par les sélections africaines face à l’attrait de l’équipe de France pour les jeunes talents binationaux.
Des défis pour l’Algérie
La perte d’Akliouche s’ajoute à celle d’autres binationaux comme Rayan Cherki, renforçant l’idée que la FAF doit travailler à attirer et fidéliser ses talents locaux. Pour l’instant, d’autres jeunes joueurs prometteurs tels qu’Ibrahim Maza et Amin Chiakha pourraient contribuer au projet national en vue de la CAN 2025 et de la Coupe du monde 2026.
Ce choix souligne l’importance de renforcer la formation locale pour éviter de perdre d’autres talents à l’avenir. La FAF doit conjuguer attractivité internationale et développement interne pour sécuriser le futur des Fennecs.
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