La gestion de l’équipe nationale sénégalaise de football est au cœur de débats récents, notamment en raison de la présence croissante d’influenceurs. Ce phénomène a été accentué par l’introduction d’un influenceur au sein du groupe à Londres par Khalilou Fadiga, ancien international sénégalais.
Les inquiétudes autour des influenceurs
La Fédération sénégalaise de football (FSF) est interpellée sur la rigueur de sa gestion. Abdoulaye Saydou Sow, le nouveau Secrétaire général de la FSF, a voulu apaiser les craintes. Il a affirmé que la présence d’influenceurs n’a pas eu d’impact négatif lors des derniers rassemblements, que ce soit à Londres ou en Turquie.
Sow a rappelé que des incidents similaires se sont déjà produits dans le passé, notamment en Irlande, où des joueurs avaient voyagé en classe économique. Il a souligné la nécessité d’une adaptation aux réalités modernes pour gérer l’équipe efficacement.
Vers une organisation plus structurée
Le Secrétaire général a insisté sur l’importance d’une organisation claire, inspirée des pratiques des pays développés. Il a affirmé que des concertations sont en cours avec les joueurs et le staff pour améliorer les conditions de travail. Avant le début de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), des discussions supplémentaires avec l’ANPS et les influenceurs sont également prévues.
Abdoulaye Saydou Sow a conclu en soulignant que pour remporter la CAN, des sacrifices seront nécessaires. La FSF semble déterminée à trouver un équilibre entre tradition et modernité dans la gestion de l’équipe.
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