Le 11 septembre 2025, CinetPay a réagi à des accusations de blanchiment de capitaux rapportées par le journal Libération. La fintech, active dans le secteur des paiements numériques, a exercé son droit de réponse pour défendre son image et éclaircir sa position.
CinetPay face à des accusations graves
Selon CinetPay, les allégations concernant sa responsabilité dans des activités illégales sont infondées. La société affirme qu’une tierce partie a détourné ses services, ce qui a entraîné une enquête. Dès que ces faits ont été constatés, CinetPay a résilié le contrat du marchand impliqué et a informé les autorités compétentes, en déposant une plainte officielle auprès du Procureur de la République.
CinetPay souligne que les employés entendus par la justice ne détiennent pas de fonctions décisionnelles au sein de l’entreprise. Leur audition vise uniquement à éclaircir la situation autour du marchand tiers.
Engagements de CinetPay pour la transparence
La fintech insiste sur son engagement envers l’inclusion financière et la conformité réglementaire. Déjà agréée en Côte d’Ivoire comme établissement de paiement, CinetPay s’efforce d’obtenir d’autres agréments dans la région. Cela vise à renforcer la sécurité de ses services et à maintenir la confiance de ses utilisateurs.
En réponse aux accusations de gestion de paiements frauduleux, CinetPay affirme qu’aucune preuve ne lie directement la société à de telles pratiques. Elle appelle à la prudence face aux généralisations qui pourraient nuire à son image. La direction a réaffirmé sa volonté de collaborer étroitement avec les régulateurs et ses partenaires pour développer le secteur financier numérique en Afrique.
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