Publié par Le changement de fréquence de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) à tous les quatre ans, décidé par la Confédération africaine de football (CAF), suscite des réactions variées. Lors d’une récente conférence, Aïssa Mandi, défenseur algérien, a exprimé son soutien à cette réforme.
Une nécessité pour le football africain
Mandi a déclaré que ce nouveau rythme est positif pour l’avenir du football sur le continent. Il a évoqué la monotonie des éditions tous les deux ans, suggérant que cela donnait l’impression d’une CAN permanente. Selon lui, un format tous les quatre ans alignerait la compétition africaine avec d’autres grandes compétitions internationales.
Le joueur du LOSC a précisé que ce changement est logique et pourrait apporter des bénéfices significatifs pour le développement du football africain. Avec 111 sélections à son actif, l’expérience de Mandi lui permet d’affirmer que ce format est plus adapté aux attentes des équipes et des supporters.
Transition vers le nouveau format
Avant que la réforme ne prenne effet, la CAF maintiendra l’ancien format. La prochaine édition se déroulera en 2027, après laquelle le passage au cycle de quatre ans sera effectif. Cette décision marque un tournant dans l’organisation de la CAN et pourrait influencer la dynamique du football africain dans les années à venir.
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