À quelques semaines de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2023, prévue le 13 janvier au Côte d’Ivoire, plusieurs clubs européens rencontrent des difficultés. Les sélections africaines commencent à annoncer leurs listes de joueurs. Toutefois, des tensions apparaissent entre certains clubs et les fédérations nationales.
Des clubs réticents à libérer leurs joueurs
Des équipes comme Lyon et Nantes font face à des demandes de libération de joueurs, mais ne semblent pas toujours coopératifs. Les clubs, soucieux de conserver leurs talents pour des compétitions nationales, hésitent à libérer leurs joueurs, ce qui complique la préparation des équipes nationales.
La situation est d’autant plus délicate qu’avec seulement 19 jours avant le début de la CAN, chaque jour compte pour les sélections. Les clubs doivent peser les risques de perdre des joueurs clés contre l’importance de la compétition internationale.
Un enjeu majeur pour les sélections africaines
La CAN représente un événement crucial pour les nations africaines, qui espèrent briller sur la scène internationale. Cependant, les réticences des clubs peuvent entraver la préparation adéquate des équipes. Les fédérations doivent naviguer entre les intérêts des clubs et ceux des joueurs, souvent pris entre deux feux.
En conclusion, alors que la CAN approche, le dilemme entre clubs et sélections s’intensifie. La coopération entre ces deux entités est essentielle pour assurer le succès des équipes africaines durant ce tournoi prestigieux.
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