Le Sénégal se positionne comme un candidat sérieux pour accueillir la prochaine Coupe d’Afrique des Nations (CAN) entre 2029 et 2035. Alors que la Confédération africaine de football (CAF) a décidé de retarder l’attribution des futures éditions, le pays continue de développer ses infrastructures pour séduire les instances dirigeantes.
Une concurrence solide pour la CAN
Plusieurs nations, dont l’Angola, le Rwanda, et l’Éthiopie, ont également manifesté leur intérêt. De plus, une candidature conjointe entre le Mali et la Guinée ajoute une dimension supplémentaire à la compétition. Chacun de ces pays souhaite prouver sa capacité à organiser cet événement emblématique du football africain.
Le Sénégal, en revanche, bénéficie d’infrastructures en plein essor et d’une ambition affirmée de devenir un centre névralgique du football sur le continent. Les autorités sénégalaises avancent des arguments solides pour convaincre la CAF de leur potentiel.
La prudence de la CAF
Face à cette compétition, la CAF a choisi d’adopter une approche réfléchie. Lors de son dernier Comité exécutif, elle a décidé de prolonger l’évaluation des candidatures. L’objectif est de garantir que chaque pays répond aux exigences en matière d’infrastructures sportives et d’accueil.
Cette décision de la CAF, bien que frustrante pour les candidats, vise à assurer un événement de qualité. Dans les mois à venir, la bataille pour l’organisation de la CAN devrait s’intensifier, alors que chaque pays cherche à démontrer sa capacité à offrir une expérience mémorable.
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