Publié par L’Algérie se trouve à un pas d’une qualification pour la Coupe du Monde 2026. En octobre, une victoire contre la Somalie pourrait offrir aux Fennecs leur ticket pour le rêve américain. Toutefois, à l’approche de ce match crucial, deux joueurs, Saïd Benrahma et Youcef Belaïli, semblent plus préoccupés par des conflits personnels sur les réseaux sociaux que par leur préparation.
Une équipe en quête de cohésion
Les supporters algériens demandent des performances sur le terrain, mais sont confrontés à des disputes virtuelles entre joueurs. Ces altercations nuisent à l’image de l’équipe nationale, qui doit faire face à une pression considérable. Les querelles entre Benrahma et Belaïli risquent de fissurer un groupe déjà affaibli par des résultats en deçà des attentes.
Des figures comme Aïssa Mandi rappellent l’importance de l’unité. Dans une récente story, il a appelé à la cohésion et au travail acharné pour atteindre l’objectif de la Coupe du Monde, soulignant que le moment est venu de se battre sur le terrain, pas sur Instagram.
Un avenir incertain pour les deux attaquants
À l’approche de ce match décisif, la question se pose : Benrahma et Belaïli seront-ils capables de mettre de côté leurs différends pour se concentrer sur l’objectif commun ? Si l’un ou l’autre ne comprend pas l’importance de porter le maillot national, il pourrait être temps de laisser la place à d’autres joueurs prêts à s’investir pleinement.
Le peuple algérien attend des performances, pas des histoires de réseaux sociaux. En octobre, l’enjeu est clair : 90 minutes pour écrire l’histoire de la qualification ou 90 stories pour distraire. Les joueurs doivent choisir leur camp.
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