Publié par Le Tunisien Selmi Sadok, arbitre de football, est actuellement en difficulté car il a récemment été au cœur de deux grandes polémiques en l’espace de trois jours, impliquant le Brésil et la RD Congo.
En effet, le samedi dernier, lors d’un match amical opposant le Brésil au Maroc à Tanger, Selmi Sadok a suscité l’indignation des joueurs brésiliens après la défaite (1-2). Rodrygo, ailier du Real Madrid, a exprimé son mécontentement en déclarant : « Je n’aime pas parler de l’arbitre, mais c’était un peu compliqué, il ne voulait pas laisser le match se dérouler. On pressait et il sifflait toujours une faute quand on pressait ». De même, l’entraîneur brésilien Ramon Menezes a affirmé que tout le monde avait remarqué les erreurs de l’arbitre.
Plus tard, le mardi, Selmi Sadok a dirigé la rencontre Mauritanie-RD Congo (1-1) à Nouakchott, lors de la quatrième journée des éliminatoires de la CAN 2023. Cependant, ses décisions ont à nouveau été critiquées, cette fois-ci par l’équipe congolaise. Les Léopards n’ont pas accepté l’expulsion de leur joueur Cédric Bakambu, qui a reçu un deuxième carton jaune pour avoir prétendument laissé son pied traîner sur le gardien adverse Babacar Niasse. Bakambu a défendu son innocence en affirmant qu’il n’avait pas touché le gardien et les images semblent prouver sa version des faits.
En outre, lors de cette même action, Niasse a attrapé le ballon de la main alors qu’il avait été passé en retrait par son coéquipier, ce qui aurait dû donner un coup franc dans la surface en faveur des Léopards. En outre, Niasse avait déjà échappé à une sanction pour une faute sur Bakambu lors de l’ouverture du score congolaise à la 9e minute.
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